Éco-construction d'un bâtiment à énergie positive

Introduction

D'après l'ADEME[1] (guide pratique «  Améliorer le confort, économiser l'énergie ? rénovation : la réglementation thermique[2] »), les déperditions moyennes pour une maison d'avant 1975 non isolée se répartissent comme suit :

  • Toit : 25% à 30%,

  • Air renouvelé et fuites : 20% à 25%,

  • Murs : 20% à 25%,

  • Fenêtres : 10% à 15 %,

  • Planchers bas : 7% à 10 %,

  • Ponts thermiques : 5% à 10 %.

Une bonne isolation permet donc d'éviter ces déperditions et d'économiser en chauffage.

On pourra aussi se reporter à la méthode de calcul Th-BCE 2012 développée par le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment[3] (cf. l'Annexe à l'Arrêté du 20 juillet 2011 portant approbation de la méthode de calcul Th-B-C-E prévue aux articles 4, 5 et 6 de l'arrêté du 26 octobre 2010 relatif aux caractéristiques thermiques et aux exigences de performance énergétique des bâtiments nouveaux et des parties nouvelles de bâtiments paru au Journal Officiel).

  1. ADEME : Agence de l'Environnement et la Maîtrise de l'Énergie. Consulter aussi "ADEME" dans le glossaire.

  2. ADEME

    Améliorer le confort, économiser l'énergie ? Rénovation : la réglementation thermique, guide pratique, ADEME, n°6925, Avril 2011, réalisation : H. Bareau. Disponible à partir du site internet "Espace Éco-citoyens" http://ecocitoyens.ademe.fr/ dans la rubrique "Guide pratique".

  3. CSTB : Le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment.

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AccueilAccueilImprimerImprimer Co-auteurs : Yves Ardourel, Estelle Bretagne, Jean-Michel Decuq, Smail Khainnar, Patrizia Laudati, Manuel Mesquita, Martine Rey, Michel Reznikoff / Coordinatrice pédagogique : Estelle Bretagne / Production : UVED - Université de lorraine, production audiovisuelle et multimédia, Direction du Numérique. Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale - Partage des Conditions Initiales à l'IdentiqueRéalisé avec Scenari (nouvelle fenêtre)